Vendredi, dernier parcours, et je fais aujourd’hui « bande à part », une partie du groupe se préparant un plan principalement axé sur la visite de ROCAMADOUR et un bain dans la Dordogne. Pour moi et un couple ami, nous partons « à la fraîche », par le Causse pour arriver sur ROCAMADOUR par de superbes villages et L’HOSPITALET d’où nous avons la vue traditionnelle sur ROCAMADOUR. En bas, la route est déjà envahie de voitures et j’imagine déjà une horde de touristes claquant des sandales entre les boutiques des ruelles. Je reste face à la cité, sans éprouver l’envie de me joindre à la foule. Nous reprenons par le plateau et de toutes petites routes vers GIGNAC et LAVERGNE. Pour la suite, nous filons plein nord en évitant les départementales, très fréquentées à cette heure et en ces lieux touristiques, pour rejoindre AUTOIRE puis la vallée de la DORDOGNE. C’est là que le groupe avait projeté d’aller et nous les rejoignons pour le pique-nique. L’après-midi, sous la chaleur, je ferai encore une fois cavalier seul pour le retour sur le Causse et MARTEL que j’atteint juste avant l’orage. Soirée sans histoire, repas dans la même ferme-auberge… ce qui nous garantit, au moins, une constance dans la perfection des pommes de terre sautées ….
l'itinéraire initialerment prévu de ce dernier jour ............................................................cliquer ICI
C’est la fin… le lendemain, on plie tout, on se place, on fait les pleins des véhicules et direction LONS, en caravane d’abord, puis dispersé ensuite…. C’est fini … j’ai, finalement, mieux tenu le choc que je ne l’imaginais et beaucoup plus que mon épouse ne le pensais. Dernier coup d'oeil au compteur, il me reste 2 ou 3 tour de parking pour atteindre 1.100 kilomètres - Je ne les ferai pas ... Je me sens un peu "vide" sans être ni "vidé", ni vraiment "à plat" !!!
Je reste quand même un peu sur des impressions mitigées : en terme de plaisir, sur un plan purement cycliste, le contraste est rude entre notre virée" sacocharde" et l’agitation de nos semaines estivales …. Mais il y a les copains et, après tout, chaque chose a son charme ....